mercredi 15 avril 2009

Qu'est ce que le Judaïsme ?

Certainement pas une religion comme le confit un ponte de la communauté canadienne:

"Joseph Gabay a représenté officiellement la Communauté juive québécoise dans ce forum interreligieux, qui a réuni des personnalités chrétiennes, juives et musulmanes.

Le Dr Victor Golbloom, président du Congrès Juif Canadien, Région du Québec, et plusieurs membres de la Communauté juive ont participé à cette journée d’échanges et de réflexion.

Au cours de son intervention, Joseph Gabay étaya avec brio quelques réflexions sur la religion, la culture et l’identité juives.

“Le Judaïsme n’est pas une religion. On ne peut pas dire à Einstein, à Marx ou à Freud qu’ils ne sont pas Juifs! Le Judaïsme, c’est un mode de vie. L’ancien Premier ministre de l’État d’Israël, David Ben Gourion, a posé la question “Qui est Juif?” à quatre-vingts sommités juives. Il a reçu quatre-vingts réponses différentes.”

Le Judaïsme a une spécificité particulière: c’est une religion universaliste par opposition à ce qu’on appellerait une religion universelle, rappela Joseph Gabay.

“La tradition juive n’est pas exclusionniste. S’ il y a des Juifs qui veulent être religieux, tant mieux pour eux, mais les autres Juifs ne sont pas exclus pour autant. La phrase “Hors de la Synagogue point de salut” n’est pas une phrase juive. “Hors de la Synagogue, il y a un salut!” C’est ce qui explique que dans la tradition juive il n’y a pas de prosélytisme. On a énormément de respect dans la tradition juive pour tout ce qui n’est pas Juif. Quand Dieu dit: “Tu es mon Aîné Israël,” ça signifie que les autres enfants sont aussi des enfants de Dieu. Dans la tradition juive, nous sommes à l’intérieur d’un monothéisme commun.”

Joseph Gabay présenta le dynamique réseau d’institutions bâti au fil des années par la Communauté juive du Québec et souligna le rôle important que ces institutions jouent au niveau social, économique, culturel… dans le Québec contemporain.

“Le réseau institutionnel juif a connu au fil du temps un développement impressionnant grâce à l’implication très dévouée de milliers de bénévoles qui incarnent les valeurs sociales juives de Justice et Tsédaka -charité-”

Joseph Gabay conclut son intervention en égrenant quelques réflexion sur la Commission Bouchard-Taylor sur la pratique d’Accommodements raisonnables au Québec.

“Une société laïque n’est pas une société athée. C’est une société au sein de laquelle les religions peuvent vivre côte a côte… Je ne pense pas que l’enfer soit l’Autre, comme disait Jean-Paul Sartre. Je pense que l’Autre est un morceau du paradis parce qu’il m’apporte quelque chose de différent. Quand on me pose la question “Qu’est-ce que les religions apportent au monde?” ma réponse est très simple: les religions sont une alternative à l’absurde! Pour moi, un Accommodement raisonnable, c’est un Accommodement qui accommoderait les uns sans incommoder raisonnablement les autres!


Voilà un texte précieux qui mérite d'être conservé tant il pose sans ambages la réalité de la nature du Judaïsme. Nos lecteurs savent en effet que le Judaïsme ce n'est pas une religion, mais un projet politique reposant sur une psycho-pathologie plus ou moins traduite en termes mystiques et messianiques, entretenu pendant longtemps par l'endogamie communautaire (mariages consanguins sur des siècles). Cette évolution en vase clos pendant si longtemps a donné une spécificité génétique aux Juifs ashkénazes mais aussi une structuration mentale inspiré de la législation talmudique. En ressort aujourd'hui une même mentalité servie par une même ascendance raciale qui se traduit par un discours très identifiable: racisme implacable en faveur des Juifs, promotion du métissage et de la dissolution des nations ou ils vivent.

C'est pourquoi effectivement Einstein, Marx et Freud sont de purs produits Juifs mais que jamais ils ne mirent les pieds à la synagogue...

L'auteur par ailleurs s'amuse du goy en évoquant une religion "universaliste" et non "universelle". C'est qu'en effet le message Juif est universel mais exclusivement destiné aux Juifs, les goyim servant de sujets aux expériences névrotiques des psychopathes hystériques s'autoproclamant maîtres du monde. Il suffit de se conférer aux mises en pratiques à travers le communisme, les abus sexuels dans la psychanalyse, la culpabilité des Juifs dans les dernières guerres impérialistes américaines ou encore le vol caractérisé faisant suite à la crise financière pour saisir l'implacable politique Juive qui se rit des qualificatifs de "religion"... La religion Juive n'est que le droit coutumier de la névrose Juive qui s'est ensuite répandu dans diverses formes d'engagement (féminisme, freudisme, marxisme, finance spéculative, suprémacisme, etc.).

Quand l'auteur nous dit encore que le Judaïsme n'exclut pas, cela ne concerne évidemment pas les goyim qui ne sont que du bétail si l'on en croit le Talmud et qui n'ont pas le statut d'hommes. On soulignera avec malice le soin que l'israélite prend à rassurer ces Gentils sur l'affection juive vis à vis d'eux... Qui aura parcouru le Talmud saura à quoi s'en tenir...

Mais plus encore, preuve que le Judaïsme est un simple racisme suprémaciste de droit divin, le Juif qui n'aurait pas le goût de la pratique est pourtant bel et bien un Juif. C'est on ne peut plus vrai puisqu'un Juif reconnaîtra toujours un autre Juif non pas à sa pratique relgieuse mais à ce qu'il dit, fait, écrit. Et la suite ne déroge pas à cette pensée si homogène du Judaïsme, même éclaté au sein de différents pays comme nous le montre la fin du texte.

En effet après avoir mis en avant la rigoureuse mentalité raciste du Judaïsme, le bon docteur Benschmol nous vend "le vivre ensemble" et le droit à la différence dans ce qui fût un pays européen jusqu'à il y a peu.

C'est donc très net, le Judaïsme a une politique immuable servie par des doctrinaires et agitateurs inlassables, qu'il soit à Paris ou à Montréal, à Londres ou à New York. 

Les goyim ahuris s'émeuvent et Israël rigole d'avoir fait une bonne farce.

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