jeudi 5 mars 2009

"L'imperfection du monde" ou l'impossible devoir de judaïser l'humanité

Avec Jonathan Littel nous avons pu éclairer sans difficulté la névrose incestueuse Juive et ses conséquences sur toutes les activités culturelles du Judaïsme. Le désir de retourner dans le ventre de mère est un élément central de l'esprit Juif. Mais l'impossibilité de ce retour laisse le Juif mal à l'aise, insatisfait. Il ne sait comment retrouver cette unité confortable dont l'aspiration est si présente dans le monde culturel Juif, tant au travers de la tradition religieuse que de ses avatars philosophiques ou sociétaux.

La tradition religieuse part donc du principe que le monde actuel est "brisé", imparfait. Mais à reconstruire, et bien sûr selon les normes Juives. Le monde bien sûr c'est la planète entière. Les Juifs se sentent chargés d'une mission, qu'ils qualifient de divine. En vérité c'est l'extrême violence de la névrose régressive incestueuse, qui a pris la dimension d'une culture nationale, qui les pousse à résoudre ce problème permanent pour eux: détruire autrui pour retrouver cette unité fantasmatique.

Le petit écrivain Juif David Saada ne dit rien d'autre, on peut lire dans Tribune Juive:

T.J : Vous écrivez que Dieu à crée un monde imparfait à dessein. Quelles explications donne la Torah ?

D. S. : Le Midrach le dit, la Kabbale le dit : Dieu a créé des mondes antérieurs au nôtre et les a détruits parce qu’ils ne lui plaisaient pas. Notre monde est créé sur leurs débris. Ce n’était pas une incapacité de Dieu à bâtir un monde parfait. Au contraire, c’était dans le but que l’homme puisse utiliser le potentiel qui est en lui pour le réparer et devenir un partenaire de Dieu. Cette imperfection est un appel à la perfectibilité de l’homme, alors que dans d’autres courants, elle donne lieu à des philosophies désespérées. Pour la Torah, c’est le contraire. C’est la philosophie fondamentale de l’action, de l’optimisme, de l’espoir. D’ailleurs, le geste qui représente le plus le commandement, la Mitsva dans la Torah, c’est celui de la Tsédaka. La charité et la justice. Il ne s’agit pas seulement d’être charitable, mais de rétablir une certaine justice. C’est un geste réparateur.

La charité Juive est certes très connue et se manifeste tous les jours comme Madoff l'a d'ailleurs parfaitement démontré, sans parlé des oligarques Juifs de Russie. Naturellement quand David Saada parle de "l'homme", c'est bien sûr uniquement du Juif. Il s'agit d'un transfert typique sur l'humanité des propres turpitudes du Judaïsme. Nous avons un aperçu de cette volonté de réformer le monde selon les normes Juives tant avec le marxisme et ses commissaires politiques Juifs qu'avec la démocratie libérale des financiers et cinéastes Juifs, sans parler de ses hommes politiques néo-conservateurs mondialistes.

Ceux qui auraient envie par hasard de ne pas se judaïser seraient de bien pauvres bougres sans horizon. Ces spiritualités différentes ne seraient en vérité, selon le canon de beauté Juif ,que des "philosophies désespérées". Les Juifs en effet n'ont guère d'estime pour ce qui ne vient pas d'eux, ce qui est logique puisqu'ils sont par nature asociaux et nombrilistes. 

Mais c'est bien l'idée de "réparer le monde" qui hante nos chers amis névrosés incesteux. Comme nous l'avons vu, le projet Juif est une pathologie érigée au rang de projet politico-religieux universel. Mais grâce à notre miroir, nous pouvons bien vite démonter le discours de David Saada: c'est bien la communauté Juive qu'il propose inconsciemment de "réparer" et que nous les goyim faisions preuve d'une certaine charité à l'égard de ces victimes de la névrose judaïque. C'est encore du Judaïsme lorsqu'il parle de "philosophie désespérée", ce à quoi nous adhérons étant entendu que le but du Judaïsme, le retour à l'état de nourrisson, est tout bonnement impossible. C'est encore avec le miroir que nous lisons dans l'inconscient de David Saada: le Judaïsme est bien une philosophie de la passivité (redevenir un foetus), du pessimisme et du désespoir (ce projet étant impossible).

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