lundi 23 février 2009

Littérature Juive: entre fumisterie et névrose incestueuse

Parcourant la presse ju... française (Le Figaro-Bloch-Dassault), nous trouvons ce qu'il convient d'appeler une perle d'exhibitionnisme nombriliste Juif. Voici comment cela débute:

"Être Juif n'est pas qu'une simple question de naissance. En réalité, être juif, c'est continuer à se faire naître toute sa vie. Par l'étude de la Torah. Un Juif est quelqu'un dont la naissance ne s'achève jamais. Le judaïsme sait qu'il faudrait mille vies d'hommes pour faire un homme. Le messianisme est là pour ça, réservoir d'éternité que l'humanité réclame, sans savoir (sans pouvoir ?) l'obtenir.

Quand on dit «Juif », on sous-entend la tautologie « Juif de Dieu ». Car de même qu'on n'est jamais juif sans Dieu, on n'est jamais Dieu sans Juif. Dieu, c'est l'absolu. Il est toujours plus grand que lui-même. Il est systématiquement supérieur à sa supériorité. Dieu n'est pas ce qui est divin, mais ce qui est sans cesse infiniment plus divin. Dieu est celui qui est plus puissant que Dieu.

Vous avez compris ? Non ? C'est normal. Comme vous le constatez les Juifs ont un style déplorable et surtout incompréhensible proche de celui de n'importe quel ceintré s'emparant d'un crayon. Enrobé par une complaisante presse, ces élucubrations deviennent de "l'a-r-t". Oui, pas moins. Du génie même. Vous aurez remarquez que vous, lecteur goy, n'êtes là que pour admirer les patientes méditations Juives sur la condition du Juif mais que ce privilège vous coûte tout de même le prix du papier. Un privilège se monnaye, n'est ce pas ? Un peu comme si on payait pour voir des gens riches manger au Fouquet's.

Vous constatez au reste qu'être Juif, c'est très compliqué. C'est aussi très snob. Les Juifs sont toujours très soucieux des autres, ou plutôt exactement de se servir des autres comme faire valoir. Car le Juif est un égocentrique mégalomane et un exhibitionniste. Un dramaturge permanent, monteur de tragédies aussi tapageuses que creuses, résolument plantées dans un plat nombrilisme. C'est en résumé tout ce qu'à produit "l'art" Juif. Et pourtant, derrière ce barratin ennuyeux et surfait, les Juifs savent très bien qui ils sont. La preuve en est qu'en 3000 ans, plus que de "se faire naître toute sa vie" (et accessoirement de coucher avec sa mère), c'est bien en magouillant à travers le monde en bande organisée sur critères ethniques que nos amis se sont mutuellement reconnus, au point in fine, de construire par un nettoyage ethnique une caserne Juive en Palestine. 

Les palestiniens eux ne se "font pas naître toutes leurs vies" et n'ont pas pu rester chez eux. Vous saisissez la nuance ?

Mais poursuivons la lecture, certes pénible, du propos de Yann Moix:

Or, nous dit Jean-Claude Milner, est apparu au XIXe siècle (en Europe de l'Est) une figure inédite : le « Juif de Savoir ». Pour lui, ce n'est plus Dieu qui est absolu, mais la culture. Ce n'est plus Dieu qui est tout-puissant, mais la connaissance. Dieu était toujours plus grand que Dieu ? Le savoir est toujours plus grand que le savoir - cela est même à la source du « progrès ». Y a-t-il eu des dégâts lors de l'abandon des « traités vermoulus » chers à Levinas au profit des essais philosophiques et des recueils de poésie allemande ? Pire, il y a eu une catastrophe : dans ce transfert, c'est le nom juif qui a disparu.

Remplacer Dieu par Hegel ou Goethe, c'est tout simplement cesser d'être juif. C'est s'abolir en tant que juif. Car Auschwitz fut la démonstration définitive de ce que le savoir est inférieur à quelque chose d'autre, moins intelligente que lui, plus folle et plus aveugle que lui : la technique. La technique a terrassé le savoir ; la technique a assassiné le Juif de Savoir. Avec le savoir, le Juif de Savoir a d'abord perdu le nom ; avec la technique, il a perdu la vie.

L'Arrogance du présent (titre époustouflant) s'intéresse à un avatar du Juif de Savoir : le « Juif de Révolution ». Le Juif de Révolution est un Juif de Savoir qui a lu Marx. Pour Marx, il y a une perméabilité, mieux : une réciprocité, entre savoir et révolution. Le Juif de Révolution troque ainsi, à la faveur de cette passerelle, l'universel mosaïque contre l'universel révolution naire. L'universel talmudique contre un universel au rabais, un universel « facile ». Pour un Juif qui est resté dans son nom, Auschwitz a représenté une apothéose du Mal, mais en aucun cas la fin du monde : Dieu n'est pas mort là-bas ; d'autant qu'Auschwitz a été pour nombre de Juifs sécularisés le moment du « retournement de la malédiction en exultation » (Levinas) et donc le Retour vers le nom, dans le nom."

Comme avec tous les auteurs Juifs, il faut relire car c'est incompréhensible au premier abord. La cuistrerie Juive n'ayant de limite que sa nullité littéraire, il faut comme avec BHL prendre ce qui nous est dit en ayant bien à l'esprit que c'est du genre comique et rien d'autre. Malheur à l'âne qui lirait ces phrases avec le sérieux universitaire ! Le style torturé illustrant d'ailleurs très bien l'état mental des névrosés incestueux auxquels nous avons à faire, dans la grande tradition rabbinique du pilpoul verbeux.

Après avoir débroussailler le texte de ses superficielles excentricités, nous découvrons l'aveu du Juif déçu de ses espérances communistes, à peine consolé par le démocratisme ploutocratique. Avouons que s'il se sucre grassement avec lui, il manque de relief pour nos amis un peu blazés: c'est le propos du texte. En effet nos rabbins convertis à Marx sont pour Moix, des gens las qui n'ont plus que pour seule espérance le grand retour de la tradition Juive, religieuse surtout. Car dans l'affaire dramatique qu'est le rôle joué par les Juifs dans le communisme, l'auteur ne retient bien sûr que la perte d'influence des rabbins et de la "foi", sorte de "cataclysme identitaire". 

C'est en effet ce qui frappe le plus l'observateur averti. Mais le demeuré de seconde zone lui observera vicieusement le rôle des Juifs dans le projet Judaïque qu'est le messianisme communiste. Il verra étonnement autre chose que des rabbins délaissés ou des persécutés interrogatifs. Il contemplera en effet la terrible figure du Juif tortionnaire engagé dans la Tchéka de Bronstein, dit "Trotsky", massacrant des millions de paysans ukrainiens commettant le crime affreux de ne pas céder absolument tout à l'appétit délirant du Juif révolutionnaire. 

Chers amis lecteurs, la plus grande victime du communisme, la plus grande victime de Marx, c'est bien le peuple Juif. Ou du moins la communauté bricolée et proclamée Juive. Mais vous le saviez non ?

Considérant ce propos avec gravité, nous ne pouvons conclure une pareille lecture qu'en riant la larme à l'oeil et remercier Moix de nous payer une si bonne blague dans un style yiddish si savoureux ! Ce ne sont sûrement pas les paysans ukrainiens qui nous contrediront !

*Notre billet qui lui est clair et limpide n'aurait que très peu de chance d'être publié dans un journal français. Mais finalement, c'est plutôt rassurant.

** Yann Moix puise ses origines en Espagne. Non pas chez les Goths, mais bien plutôt chez les sépharades dont le nom provient. Un retour aux sources en quelques sortes...

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