Des rumeurs ont circulé abondamment après que l'extrême gauche dominée par le lobby Juif ait prétendu avoir repousser des militants "d'extrême droite" de la manifestation de soutien au peuple palestinien le 24 janvier dernier.
A priori d'après nos informations, la CNT, le Betar en collaboration avec la police politique républicaine a en réalité visé nos amis membres du Centre Zahra, qui regroupe des personnes proches du chiisme mais aussi le nouveau Parti Anti-Sioniste. A ces gens se sont ajoutés des éléments nationaux français tels que VOXNR et d'autres qui ont défilé sous la bannière "Tous unis contre le sionisme".
C'est bel et bien la présence d'antisionistes radicaux qui a affolé l'extrême gauche officiellement chargée par la république sioniste de canaliser le sentiment pro-palestinien en France pour mieux le neutraliser. En collaboration avec les forces de répression, ils ont ainsi chargé violemment des individus appartenants à différents groupes raciaux et religieux, frappant d'après ce que nous savons des jeunes musulmanes portant le voile.
Ce secteur porteur dans l'opinion publique est potentiellement une source de contestation authentiquement antisioniste et le pouvoir le sait pertinemment. Les évènements précités sont une manoeuvre dont l'objectif est le maintien des communautés immigrées, surtout arabes ou musulmanes, dans le giron de l'extrême gauche sioniste. Cette question n'est pas anodine, mais bel et bien centrale dans l'optique de nettoyage impératif que nous avons à mener.
Il y aura à n'en pas douter à l'avenir d'autres confrontations nécessaires pour émanciper les différentes communautés de la main mise politique déléguées par le lobby sioniste à l'extrême gauche institutionnelle.
Enfin le MDI n'était pas présent lors de ce cortège malgré les rumeurs lancées par la bourgeoisie anarcho-sioniste. Un avertissement a été lancé par la présidence du MDI aux idiots utiles du sionisme: la prochaine rencontre entre le MDI et la CNT aboutira à des mesures de représailles vis à vis de cette dernière.
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