dimanche 21 décembre 2008

Quand le sionisme rencontre la terreur républicaine

Le sionisme a entre les mains en Europe un outil de qualité tout à fait singulière. Là ou on se doit de naviguer en eaux troubles chez nos voisins, la République, dernier régime idéologique du continent, mais suivi de près par l'UE, offre en effet une expertise et un savoir faire unique en terme de répression et de formatage des esprits. 

La république en 1792 a su se doter d'une idéologie assez souple pour qu'elle puisse éliminer vertueusement tous les opposants réels ou supposés au règne d'obscurs hobereaux qui, par les tourbillons historiques, se sont vus diriger une nation parmi les plus puissantes du monde sans formation pour cela. Robespierre figure connue, mais pas la pire, n'était ainsi qu'un phraseur de tribunal quand il se retrouva parmi les hommes d'état les plus influents avec Barrère dont il n'était que la marionnette publique.

Les rois avaient créé un état central moderne dont la qualité était précisément de ne servir que le roi et non les sujets. Il s'en suivit une république qui, d'un paternalisme royal couplé de népotisme aristocratique, s'empara d'un outil nouveau et en expansion: l'état. Celle ci lui donna une mission idéologique et le penchant rationnaliste des maçons qui l'animaient, ses méthodes normatives. Ainsi l'on put être guillotiné de façon identique de Brest à Strasbourg au nom des mêmes motifs. Ce qui est tout de même une belle facette du "Progrès".

Aujourd'hui, fort de cet arsenal et d'un personnel d'état qui sait que ses intérêts sont à l'opposé de ceux du peuple, les sionistes ont pris par le secours des nouveaux moyens féodaux, empires financiers et médias, la tête de cet instrument pervers. Le jacobinisme qui affirme devoir donner une élite au pays pour éviter que les passions du peuple n'utilise l'état, et la démocratie, à mauvais escient formant la culture politique des préfets, ministres, élus divers et nervis de tous poils comme cap indépassable de la gestion des affaires publiques. Derrière de grandes envolées philosophiques devenues rouillées, se cache le slogan simple et sobre de "Fermes ta gueule, c'est nous les chefs". La "laïcité", les "valeurs républicaines", n'étant que des mots d'ordre pour justifier les coups de pied au cul d'une bourgeoisie décrépie, venimeuse et vaniteuse.

Cet outil formidable doté d'un personnel unanime dans cette vision élitiste et terroriste, anti-démocratique, n'était avant qu'un aspect de la France ou plutôt sa synthèse. Il était au seul usage des blancs, riches, contre d'autres, pauvres. De Gaulle en fût un symptôme avec ses mesures fascisantes visant à faire de l'état français déjà puissant le monstre titanesque indestructible qu'il est aujourd'hui. C'est à lui qu'on doit pour partie la catastrophe actuelle, car il a facilité le travail de nos ennemis en concentrant autant de pouvoir en une seule ville et en une seule caste. Plus de société civile, juste des cohortes serviles allant au devant du roi-président "élu au suffrage universel", c'est à dire choisi par les cercles du pouvoir, présenté par des médias aux ordres comme le vainqueur puis soumis à l'onction électorale, procédure de détail puisque le marteau de l'information a déjà proclamé les résultats 3 ans auparavant.

Les médias se résument à ceux qui les possèdent. Et nous savons de qui il s'agit.

Ainsi Nicolas l'histrion n'est il que la face visible d'intérêts craignant que l'état autoritaire français ne se désagrège. Quoiqu'autoritaire n'a trait qu'aux méthodes. Hors le totalitarisme induit une volonté de changer les esprits de l'intérieur et non de se contenter de les faire taire. La nouvelle politique de métissage à coups de trique, proposée par le gouvernement, soutenue par la presse capitalo-étatique et quantité d'acteurs de deuxième ordre payés pour ce faire, est un exemple typique de totalitarisme. Pire il ne touche plus à l'esprit mais à l'ADN, voulant en somme éradiquer les communautés raciales jugées être le dernier stade de la "nature", c'est à dire de la liberté des êtres face aux diktats idéologiques de ceux qui veulent faire de l'homme un instrument. Et que dire des lobbys pharmaceutiques et autres qui vivent du pourrissement des corps et des esprits... Nous connaissons les commissaires politiques, hébreux pour la plus part, qui de manière caractéristique comme en 1917 s'excitent dans leur mission destructrice. Cela finit toujours mal pour eux. Le matraquage auschwitzien servant de moyen pour sidérer les masses avachies par le truchement de l'émotion neutralisante. A mesure que le venin sioniste verra ses effets devenir de plus en plus violents, la musique contre "l'antisémitisme" tonnera dans les cieux. 

Nos sionistes ont eu là un bel instrument en Europe. La France qui n'a jamais été un peuple et encore moins une démocratie se voit désormais devenir le marche pied du Judaïsme politique en Europe. C'est là l'intérêt d'avoir une dictature déjà prête.

Mais l'immigration, le défi économique permanent, le népotisme de la classe dirigeante qui prétend être le remède social tout en étant la cause des crises à répétition, sont autant d'éléments qui ont condamné cet état néo-totalitaire par la création d'obstacles innombrables.

Le "communautarisme" est précisément cette volonté des composantes naturelles à échapper à la trique républicano-sioniste. Et cette contestation des véreux qui dirigent ce pays inquiète grandement. Les sionistes dont les intérêts se résument à ceux de cette dictature, sont en proie au doute et en cela sont rejoints par les haut fonctionnaires jacobins effondrés qui de leur néant moral et intellectuel, sont empoisonnés par leur propre venin jacobino-marxiste et ses castes syndicales, médiatiques et autres. Il faut avouer que la panique règne dans les hautes sphères malgré le triomphe apparent: on sait très bien que le challenge, comme en Irak, devient de plus en plus intenable.

La trique est désormais la seule option sur la table pour faire tenir une boutique qui menace de s'écrouler à tout instant. Le "vivre-ensemble" martelé ne faisant que souligner le "vivre-tout seul" général.

Les coups tordus aussi. On ne peut plus avoir l'assentiment des masses qui se restructurent sur la race, l'ethnie, la religion, etc. ? Alors on les métisse de force. Mieux on use de la terreur idéologique c'est la lutte contre le racisme avec force instruments juridiques. C'est là d'ailleurs l'occasion pour nous de dire aux juges que leur engagement trop voyant dans le sens de l'actuelle politique est par avance pour eux une source de problèmes, car tous savent que la société vantée actuellement, qui est grosso modo un capitalisme international réduisant les hommes en esclavages et détruisant les peuples au nom de l'antiracisme, n'a pas l'ombre d'une chance de s'imposer, pour la bonne et simple raison qu'elle est imposée par le haut pour le profit ponctuel de quelques uns et non un désir des populations concernées.

Pour être sûr d'avoir le soutien des veaux ahuris que l'on mène à l'abattoir, il s'agit de les effrayer par des fantômes. Les attentats ou menaces d'attentats tantôt d'extrême gauche ou d'extrême droite, sont en vérité de grossières manoeuvres des services de la police politique pour maintenir à flot un régime jacobino-sioniste aux abois, soutenus par la caste des pourris qui gouvernent que sont grosso modo tous les parlementaires, les hommes de médias, les dirigeants de multinationales, 95% des guignols du show business, l'écrasante majorité des syndicats (non réprésentatifs) et bien sûr les kapos de l'éducation nationale (embrigadement) et autres trous du cul associatifs, soient 500 000 personnes pour la crème de la crème.

Chers lecteurs, voilà la "France". Max Gallo n'étant bien sûr qu'une vieille rate verdie chargée de faire de ce ramassis ignoble un mirage napoléonien pour les plus conscients de l'enfer qui pourraient peut être se piquer de prendre du recul sur le martèlement talmudo-républicain en place. Car le plus drôle c'est qu'à mesure que la France devient un bazar multiracial sionisé, on vante les vertus des grandeurs passées de la "Nâââtion". C'est ce qui en parlent le plus qui en mangent le moins...

Alors que faire ? Tout d'abord en finir avec "la France" pour évoluer vers l'idée européenne. Car tout le monde peut être français: "ce n'est pas une race" dit le président visiblement mal à l'aise avec ce genre de concepts, visiblement novice dans ces catégories de pensées qui dépasse sa mince culture générale. Ni une ethnie ou autre chose. C'est un état maton doublé d'un racketteur dirigé par des sionistes métisseurs. Mais l'Europe, qui est une idée charnelle englobant tout ce qui faisait une "certaine France", est là et bien là. Et cela est vrai pour les musulmans ou les autres. La France peut bien se casser la gueule, demain, les "français-gaulois" pourront faire souche de l'autre coté du Dniepr ou Dniestr: en une génération ils seront russes. En revanche dans ce magma informe irréformable, mais destructible, il n'y a pas d'avenir en l'état. Ce sera donc la guerre et la victoire ou le passage à l'est. Enfin ce qui est sûr c'est que le cap officiel c'est une France de 80 millions d'habitants pour moitiés africains, une part de métis, le reste gaulois avec les convulsions propres à ce genre de bouleversements culturels et démographiques.

Concrètement il est encore sage de se doter de savoirs élémentaires, de former des groupes petits mais cohérents d'amis prêts pour sauver ce qui peut l'être le jour J, jour J qui est MAINTENANT. Mais nous pensons aussi que filer à l'est pour créer des bases d'appui n'est pas une idée complètement idiote. Hors UE naturellement. La France est occupée à la tête et pour l'heure rien n'annonce de changement. 

Car à part fusiller 500 000 collaborateurs et instaurer un nouvel ordre des choses, il n'y a pas trop d'alternatives. Créer cependant aussi des solidarités actives autour de vous. Figurez vous simplement qu'en attendant la suite, vous êtes un maquisard qui doit rester dans l'ombre et organiser, encore et toujours, des réseaux de résistance. Les meilleurs réseaux étant encore ceux du niveau régional, que l'on parcourt en quelques heures. 

Nous n'appelons pas à la désertion mais au réalisme. Nous ne pouvons compter sur aucun élément du régime (armée, etc.). Par le bas nous sommes déjà confronter à un morcellement dû à l'immigration qui atteint des proportions paralysantes. En ce qui nous concerne, nous sommes partisans de maintenir des noyaux durs partout ou cela est possibles, mobiles, plaçant leurs avoirs à l'étranger. Pour qu'un changement advienne, il faudra oligatoirement une crise aboutissant à l'effondrement. Celui qui gagnera sera celui qui tient son quartier, son village, sa propriété.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire