jeudi 18 décembre 2008

Primaires, vous avez dit primaires ?

Ce n'est pas un scoop, la dénonciation de l'Islam est devenu l'Alpha et l'Omega du spectre politique français (à l'exception du Front National et de la LCR) avec un autre marronnier : la promotion de l'immigration et du métissage.

Foin de la question politique européenne, de la question ethno-culturelle blanche, de la souveraineté continentale, du brigandage économique et social.

Chez certains à l'extrême droite, l'obsession islamique tourne au délire. On peut lire des odes à l'assimilation mais une consternation face à la foi musulmane. Des spécimens osent même focaliser contre l'Islam et se satisfaire d'une certaine immigration.

Il ne nous est guère difficile de redire ce qui est une alternative à cette non pensée en politique. La marche du système occidentalo-mondialiste affilié au sionisme est en phase de régression mais aussi de radicalisation. Il peut perdre en Irak et dans le monde, cela induira que chez lui, en Europe notamment, il sera d'autant plus cruel. Cela ne nous offre pas beaucoup d'alternatives.

Ce qui est certain c'est la foi musulmane ne constitue aucun problème en tant que tel. Tout d'abord parce que les valeurs musulmanes sont globalement positives et qu'elles sont à n'en pas douter avec celle du christianisme au niveau social sources d'inspiration. Ensuite parce qu'en soi l'Islam ne menace pas l'intégrité biologique du continent européen: les albanais ou bosniaques musulmans sont aussi européens que les suédois. Le problème c'est celui que nous pose une oligarchie cosmopolite pour qui l'immigration est un instrument parmi d'autres de gestion des hommes qui lui sont soumis. Cette immigration a effectivement souvent en Europe pour religion l'Islam. Mais pas plus que le christianisme qui est originaire de Nazareth, cette foi n'incarne une menace absolue en tant que telle: elle n'est pas fondamentalement différente du modèle sociétal et social chrétien. La femme chrétienne est sensée être encore plus soumise que la femme musulmane. Si demain tous les européens se convertissaient à l'Islam, en dehors du fait que les homosexuels auraient quelques difficultés à organiser des gay pride, que les pédophiles seraient pendus de même que les violeurs, et que le Carême serait remplacé par le Ramadan, nous assisterions à une vie morale similaire à celle des temps chrétiens, avec formellement des différences théologiques.

Pourtant les imbéciles qui se masturbent sur le film 300 (ou de grosses ficelles sionistes font de Sparte a peu près ce qu'elle ne fût jamais, à savoir une démocratie féministe) frémissent à l'idée de revoir des contraintes morales réglementer la vie quotidienne. Les vrais admirateurs de Sparte savent qu'il y a plus dans l'esprit musulman de son modèle social que dans la liqueur démocratique occidentale. 

Cette obsession est un viatique qui permet de ne pas se penser positivement. Nous autres pourrions tout autant tomber dans un travers similaire en ayant rien d'autre que l'anti sionisme. Hors nous le disons, c'est parce que nous sommes européistes de tradition indo-européenne que nous sommes anti-sionistes. Les excités hostiles à l'islam n'opposent à leur moulin combattu rien de différent de ce qui constitue l'éthique décadente occidentale. Donc autant dire que l'extrême droite est le chien de garde du système contre une système de valeurs fort, l'Islam, qui constitue une contestation en soi de la doxa consumériste et hédoniste mondialiste.

Si nous sommes sérieux nous admettons sans broncher que le système est bien organisé, que nous n'avons pas le luxe de nous diviser et que tout opposer à ce qui tue le peuple européen est un allié.

Nous réaffirmons donc que l'alliance avec la communauté musulmane, les yeux ouverts, est essentielle. Cela nous ne empêche pas de dire froidement "Ici nous sommes en Europe et cette demeurera européenne". A chacun d'y souscrire ou pas. Nous ne devons avoir comme revendication que la stricte souveraineté européenne en tout domaine. 

Au surplus que l'on ne demande pas de choisir entre occidentalisme et Islam, car la réponse serait encore plus rapide à trouver. Mais elle serait caricaturale: nous n'avons pas à nous abdiquer pour l'Islam. Nous avons une voie, celle du catholicisme romain fortement imprégné de paganisme. 

Au reste, il suffit d'observer la rapide progression de la décadence en terre musulmane pour voir que l'Islam lui aussi est aujourd'hui menacé, ce qui n'annule en rien nos difficultés contrairement au credo anti-islam de certains.

Pour finir il est utile de dire que nous n'acceptons pas l'islamisation du continent non en raison d'une divergence théologique, mais parce qu'elle est le fait de l'étranger. Si les européens se convertissaient d'eux mêmes, cela ne choquerait pas. Mais c'est parce que cela est le fruit de l'immigration organisée par le mondialisme que nous ne pouvons l'accepter. Dans le même ordre d'idée, les algériens traitent à la racine les évangélistes US qui tentent de progresser chez eux.

La foi musulmane n'est donc absolument pas un obstacle en soi, c'est 


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